Victor Hugo se remémore une scène particulièrement violente au cours de laquelle, montée sur un échafaud, une jeune femme, est marquée au fer rouge pour un vol qu'elle a commis.

À Paris, en 1818 ou 19, un jour d'été, vers midi, je passais sur le place de Palais de Justice. Il y avait là une foule autour d'un poteau. Je m'approchai. À ce poteau était liée, carcan au cou, écriteau sur la tête, une créature humaine, une jeune femme ou une jeune fille. Un réchaud plein de charbons ardents était à ses pieds devant elle, un fer à manche de bois, plongé dans la braise, y rougissant, la foule semblait contente. Cette femme était coupable de ce que le jurisprudence appelle "vol domestique"... Tout à coup, comme midi sonnait, en arrière de la femme et sans être vu d'elle, un homme monta sur l'échafaud ; j'avais remarqué que la camisole de bure de cette femme avait par derrière une fente rattachée par des cordons ; l'homme dénoua rapidement les cordons, écarta la camisole, découvrit jusqu'à la ceinture le dos de cette femme, saisit le fer dans le réchaud, et l'appliqua, en appuyant profondément, sur l'épaule nue. Le fer et le poing du bourreau disparurent dans une fumée blanche. j'ai encore dans l'oreille, après plus de quarante ans, et j'aurais toujours dans l'âme l'épouvantable cri de la suppliciée. Pour moi, c'était une voleuse, ce fut une martyre. Je sortis de la déterminé - j'avais seize ans - à combattre à jamais les mauvaises actions de la loi.

                                   Victor Hugo (18002-1885), Lettre de 1862 à un correspondant de Genève

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Maintenant je vais réécrire ce texte mais du point de vue de cette femme, humiliée. Je vais raconter cette histoire par une lettre qu'elle écrirait pour ces parents, je vais rajouter des choses que j'aurais moi même imaginée mais le fond reste le même. Elle raconte sont aventure 10 ans après. Pardons d'avance pour les fautes... ^^ Bonne lecture.

Chers parents,

Je vous écrie cette lettre pour vous faire part d'une de mes grosse douleur, la plus grosse. C'était il y a 10 ans en 1818 environ, un jour d'été, sur la place du Palais de Justice. Je manquais d'argent, vous le saviez bien,faute de ne pas pouvoir m'aider. C'était 5 jours avant mon drame, 5 jours avant mon enfer. Je ne pouvais plus payer mon loyer.... À 19 ans ce n'est pas simple. J'ai donc commis une erreur que je me reproche aujourd'hui... Mais que je serais prête à refaire pour nous défendre, nous les paysans, les pauvres, nous qui vivons dans la misère, dans la boue, pendant que les riche s’exécute à leur plaisir quotidiens...je me suis mise à volé, j'ai volé, ce geste n'est pas beau, mais j'ai volé mon employeur... La justice m'a puni, bien trop excessivement. Je vous raconte ; 5 jours après ce geste désespéré, ils m'ont exposé sur la place public du palais de Justice... Je me souviens de cette foule qui me semblais si loin, pourtant si proche, ma vision était flou. Il faisait chaud, des goûtes de sueur coulaient sur mon visage salit par la poussière. J'entendais un bourdonnement de la foule, qui me semblait heureuse, je ne distinguais pas de mot mais des ton d'encouragement, pour moi ? Non pas pour moi, jamais ils m'évitaient tous du regard, ils semblaient encourageait autre choses, être heureux pour autre chose. J'avais honte c'était un supplice. Je me trouvais attachée à un maudit poteau, avec un carcan et un écriteau misérable, comme si j’étais une bête infâme qui avait tué de sang froid... mais moi, moi, moi je n'est que volé... Une tel correction me paraissait déjà affreuse, je savais ce qui allait m'arriver, je le niais, j'avais peur, j'étais effrayer, aurifier même ! Devant moi, par terre je distinguais une source de chaleur, ma vision était flou certe mais pas assé pour ne pas reconnaître un réchaud je distingue un point rouge luisant, le fer qui chauffait dedans. Je comprenais... Et en même temps j'étais perdu, pourquoi ? Pourquoi, me faire ça... J'étais prise de panique, d’angoisse, d’effroi, d'horreur..... Je sentis que ont était entrain de me dénuder le buste, il enleva mon vêtement, ma camisole, et me la descendit jusqu'en bas du dos. Le haute de mon corps était exposer à la vu de toute cette foule, je sentis des regards dégoutant, de haine, de colère, de trahison, des regards maladroit sur moi... Méritais-je vraiment tous cela, pour avoir simplement volé, pour la justice, oui. Puis d'un coup une douleurs, insoutenable, insupportable, horrible me parcourut l'épaule, puis le corps entier. Cette personne venait de m'enfoncer avec force le fer tout droit sorti de son réchaud dans mon épaule, avec une pression démesuré, il semblait prendre plaisir à faire cela, à me voir tordu de douleur. J'ai poussé un cri terrifiant, jamais je n'aurais pensait subir ça un jour,  mon propre cri me terrifie, même maintenant il m’aurifie encore.... Tous ça pour avoir volé une pomme...

Aujourd'hui le 2 juin 2015,

Je me réveille normal, sans grande difficulté cette fois si, à 7h du matin! Je suis de nouveau sûr Skype... Je rêvasse, je glandouille un peu, puis me prépare... J'étais bien. Jusqu'au moment où je me suis souvenue d'un message pas cool de la veille venant de mon amie (la même que le jour précédent), à ce moment-là je suis direct revenue à la dure réalité! Ce message disait mot pour mot ceci : "Je te dis un dernier truc là c un choix entre une corres inconnue et ta meilleure amie . Final a demain". Je précise le mot "corres" est un abrégé de correspondante. Elle ne m'avait dit cela croyant que mon choix ce résumer à ça, même pas, le choix n'était pas là ! (pour mieux comprendre faut lire le jour précédent). J'étais en colère rien que de m'en souvenir ! Bref j'ai fait fait fais mine de rien, j'ai déjeuné... Rectification, j'ai PAS déjeuné... Il n'y avait toujours pas de Nutella... J'ai attendu qu'elle m'envoie son message fétiche "va au bout de ta rue". Elle est venue me chercher. On est arrivées au collège, toujours en continuant de faire mine de rien. Puis je décidai d'entamer une conversation sur le sujet, je savais fort bien qu'elle ne lui serait pas très agréable à entendre, seulement je devais lui dire les choses en face... Je lui ai expliqué que ce choix qu'elle me proposer était grotesque, que ça n'avait rien à voir... Je dois l'avouer, je me suis emportée, j'ai levé fort la voix, peut-être aurais-je pas dû ? Je n'en sais rien. Elle, bien que ce soit un petit ange, est au fond très sombre (tous l'inverse de moi) J'avais fini par me taire, je ruminer cela dans ma tête tout en continuant notre chemin vers les rangs, pour aller de nouveau en Anglais. Seulement j'avais encore envie de lui dire ma façon de penser, sachant qu'elle avait remis ça sur le tapis. Le blabla a commencé à parler dans tous les sens, sans même essayer de se comprendre, quand d'un coup elle me balance à la figure "JE CHANGE DE COLLÈGE !" Autant vous dire que ça m'a fait un choc... Tellement puissant que j'ai pleuré une bonne partie du cours d'anglais. C'était catastrophique. J'ai demandé plus d'explication à la fin de la cour, elle me dit cela : "ma mère m'a proposé d'aller dans un autre collège plus expérimenté pour augmenter ma moyenne et je dois lui dire si je suis d'accord ou pas" quand elle m'a expliqué ça j'ai cru la tuée, j'ai pleuré pendant près de 1h pour juste une décision même pas encore prise... Passons 2h après je m'étais calmée. On a fini les cours de la matinée à 12 h, mon père est venue nous chercher. On a déposé mon amie, puis sur le chemin du retour mon père me demande ce qui se passe avec mon amie, car oui l'ambiance dans la voiture était plus que pesante. Je lui répondis que mon amie m'avait envoyé la veille un message déplaisant, j'ai donc raconté vite fait, vraiment vite fait le sujet et tous le blabla... Mon père aime bien donner son avis, ses idées, mais là je n'avais vraiment pas la tête à les écouter, un peu comme à chaque fois je dois l’admettre mais là c'était plus que d'autres... Il commença à parler, ça m'a agacé, je pense trop vite mais j'étais sur les nerfs, il commença à discuter quand j'ai soufflé, ça l'a fortement agacé tellement d’ailleurs, qu'une fois rentré chez nous, il claque toutes les portes, celle de la voiture, le portail et la porte d'entrée Je le suivis à petits pas... Dans ces moments-là, il me fait peur... Bref je rentre dans la maison et il me gueule dessus "Tu manges toutes seules, je mangerais quand tu seras partis! " J'étais mal... j'ai pleuré un moment dans ma chambre, puis je suis allée manger... seule. Une fois fini je suis remonté dans ma chambre, j'ai par l’intermédiaire du téléphone portable, envoyé un message explicatif à mon amie (et oui malgré nos disputes je l'adore quand même) et là elle me dit qu'elle en a mare de sa, vie que plus rien ne compte pour elle... Et qu'enfaite elle ne va pas changer de collège. Elle me dit ça même pas 2h après qu'elle me les dit ! J'ai eu mal pour rien !!!Je n'ai même plus eu la force de lui en vouloir encore plus... J'ai donc laissé tomber. Je me suis mise à lire. L'aprèm se déroula dans la tristesse, elle tire la tête (pas nouveau). Je n'ai pas de devoirs, pour le jour suivant. ENFIN! Une bonne nouvelle ! Pour ma décision d'aller dans une classe spéciale ou non... Je pense accepter. J'attends que ma mère rentre pour lui en parler au moment où je vous écris ces lignes, (surement avec des fautes XD). Voilà ma journée. Je vous dis tous ça, sachant que je ne vais pas me plaindre longtemps, je suis bien consciente qu'il y a des personnes dans de pires états que moi ou qui ont plus le droit de se plaindre que moi. Sauf que je pense que parler de ces problèmes comme ça n'est pas un mal, ça vous libère, même si personne ne lit vos lignes. Écrire vos problèmes vous empêche de sombrer... Aller à la prochaine ! ;)

Aujourd'hui le 1 juin 2015,

Je me réveil sans difficulté, bien que un peu tôt, je dirais vers 7h30 min. Je me mis a discuter sur skype avec mes potes tout en étant dans mon lit bien au chaud... Puis vers 8h je me décida enfin a sortir du lit, c'était dure !! Mais j'y suis quand même parvenue, je m'habilla, me coiffa, ensuite je me dirigea vers la cuisine... à mon grand désespoir il n'y avais plus de nutella... Je me suis dit tempi ! De toute manière à 8h du matin pas envie d'aller en acheter XD bref, j'ai donc manger des tartines au beurre et ensuite brossage de dents, comme tous les matins. Vers 8h45 min j'attendais le coup de téléphone de mon amie, car on faisait du quo-voiturage, 5 min plus tard environ, ENFIN!! Je reçois son message très expressif "va au bout de ta rue" sans les fautes de frappe.... Passons on est arrivées au collège à l'heure. On commença par un cour d'Anglais, bien que je ne déteste pas ça, je n'adore pas non plus. Le cours ce déroula sans encombre. Vint la récrée... Super barbant les récrées, comment discuter avec une amie qui tire la tronche, on ne sait même pas pourquoi!! (Et oui comme à sa grande habitude mon amie tire toujours la tête, ne me demandez pas pourquoi je n'en sais rien XD). La récrée ce passa donc dans l'ennuie. Au bout de ces 10 minutes qui mon paru l’éternité, j'entendis enfin la sonnerie. On partis ce ranger dans notre rang, puis direction le français !! Seulement, juste avant d'entrer en classe, ma professeur d'anglais de sixième appela 3 élèves de ma classe, dont moi, on fut convoquer dans sa salle à la fin de notre cour. 1h après, la fin du cour sonné, je me dirigea avec les 2 autres personnes en direction de la salle d'anglais. Le professeur nous  rappela la demande qu'on avais faite y a plus de 3 mois. Je vous explique, il y a 3 mois notre professeur de physique-chimie nous a demandé, aux élèves sans options si cela nous intéressais de faire partis d'une classe de 3ème avec des correspondant anglais, d'aller en Angleterre et eux en France, je me souviens mettre proposée, sans connaître plus de détails, je me disais pourquoi pas avoir un correspondant anglais ? Je n'est pas de très bon résultats en anglais mais ce n'étais pas un des critères pour être choisi... Temps mieux, j'étais contente !! Et aujourd'hui en allant dans la salle du professeur d'anglais, celui-ci m'annonça que j'avais étais choisi avec les 2 autres personnes avec moi, j'étais contente encore une fois !! Cependant quand elle commença à nous expliquer le fonctionnement, une phrase m'interpela, il avait dit "Vous serez toute une classe avec un correspondant, vous ferais tous ensemble", je lui demanda une explication plus profonde, une fois ceci fais j'eu compris que je ne serais pas dans la même classe que mon amie... Elle représente tous pour moi, de nature je suis jalouse, alors je ne l'imagine même pas qu'elle puisse ce faire d'autre amis si jamais j'acceptais, je me disais "et si elle m'oubliais, et si elle ce faisais une autre meilleure amie, et si je ne devenais qu'un vague souvenir d'enfance..." Vous devais penser que j'en fais trop, et bien non j,'exprime ce que je ressent dans ces lignes,sans doute pleines de faute d'orthographes. Je ne veux pas être séparer d'elle.... J'ai jusqu'à Lundi 8 juin pour donner une réponse, je vais prendre mon temps pour peser le pour et le contre bien que je sache déjà quoi faire.... Le reste de la journée ce passa pas très bien... J'avais toute ces questions dans ma tête, je ne savais pas si je devais me réjouir ou bien être triste.... Mes émotions sont confuses, même encore maintenant.... En plus mon amie qui n'arrangea pas les chose ne faisais que me demander ma réponse, on aurais dis qu'elle s'en fichais, ça me rend encore triste rien que d'y penser Bref une fois la journée fini dans l'ennuie, a confusion et la tristesse... Je rentra chez moi. Je fis mes devoirs a contre cœur, puis monta dans ma chambre écrire ces lignes....

Vous devez penser que j'en fais toute une vie, mais ma vie c'est elle... Elle conte tellement à mes yeux. Seulement, je pense que je ne devrais pas dépendre d'elle....

Merci d'avoir lu ce résumer de journée plutôt confuse. Je vous dit à la prochaine, sur ce je vais trouver THE solution....

PS : désolée d'avance pour les fautes d’orthographe. Bious bious <3<3

Bonjour,

Je me présente : Je m'appelle Handrella, actuellement collégienne. J'ai une meilleure amie, je ne citerais pas son prénom. Pour plus d'info envoyez moi un message ;)